Si on veut faire dans le simple, ça répondra au moins à une interrogation, nous pouvons nous dispenser de secrétaire mais le trésorier et le président, c'est obligé. Et, en dehors de dispositions spécifiques, le trésorier ne peut pas être le président.
Aucune disposition sur le plan statutaire, néanmoins les élections anticipées ne sont pas prévues. Ce qui est prévu est la cooptation d'un vice-président qui assumera la fonction de président. Par conséquent le bureau, voire le président seul, peut nommer quelqu'un qui assumera la charge jusqu'à la fin de son mandat. Ça c'est ce qui est prévu par nos statuts, nous sommes libres de les amender ou de les modifier, comme le règlement intérieur d'ailleurs.
Je me suis demandé où était passé cette fichue modif' (pour la double casquette). J'étais secrétaire lorsque ça a été voté, en fin de mandat, le texte devant être approuvé par le mandat suivant du coup et ça s'est vraisemblablement perdu en route, puisque j'ai mes notes d'AG durant laquelle a été voté que l'idée était bonne mais qu'il fallait le formuler pour que ce ne soit pas trop bloquant. En l'état ça n'a donc jamais été inscrit nulle part et pour cause : la formulation elle-même n'a jamais été votée, de même qu'une partie du règlement intérieur et des statuts ! Ce que vous avez, datant de 2016 aurait dû être complété et amender. Ce que nous n'avons--collectivement--jamais fait.
Deux modifications avaient été décidées mais, faute d'obtention des 2/3 des votants, n'avaient pas été inscrites et en attente d'une formulation convenable validée par les membres : le non cumul des responsabilités dans les assos ludiques(sur mes notes la formule est la suivante : "Participer au bureau de la CJD demande une implication importante. En plus de l'ancienneté (6 mois), le membre participant au bureau ne pourra pas occuper un poste bénévole de responsabilité dans une autre association ayant des prérogatives comparables." Rédigé après le CR sur un bout de feuille en vue de la prochaine AG, formulation a priori convenable pour les membres de l'époque
.) et... la suppléance en cas de départ du président (il avait été dit que ça manquait, ce qui était bien vu
) ! Nous sommes dans une asso de gens
fair-play et la règle, bien que non validée en préfecture du coup, a été appliquée, ce qui est l'essentiel.
Voici un gros grrrrr adressé au bureau en poste à cette époque. ON m'a tellement rebattu les oreilles sur la représentation et l'importance des décisions collectives au sein de la CJD, que j'en suis surpris et fortement déçu.
C'est l'inverse. Tu devrais constater que la décision collective l'emporte sur les humeurs d'un bureau et qu'une fois décidé l'association respecte la parole collective, soit-elle administrative ou non. Je trouve bien de respecter ce qui a été dit ensemble plutôt que ce qui a été tamponné, même si un bon écrit est malheureusement souvent inévitable. Et pour le coup ton grrrrr s'adresse au bureau dont je faisais parti et à l'ensemble des suivants. C'est un simple oubli du bureau prenant fonction que le bureau partant a tout autant négligé de signaler à l'AG suivante. Et aucun des bureaux suivants ne s'est repenché sur la question parce que ça roulait et que tous pensaient que l'autre l'avait fait. C'est une regrettable erreur assez classique en asso, quand on s'occupe surtout du quotidien, mais ça ne remet absolument pas en cause le poids des décisions collectives. Et je dirais aucun membre de l'asso ne l'a remarqué ou fait remonter non plus jusqu'à maintenant
. C'est la différence entre le communisme libertaire et le communisme autoritaire
(je taquine, je taquine).
Pour l'article : Pour le 1 je rajouterais : "Cette assemblée ge doit se tenir impérativement dans le mois civil suivant l'annonce de la démission, de l'éviction ou le constat du départ du membre de ses fonctions."
Le 3 n'a pas de raison d'être, il est évident et décline du reste. Sans représentant, ce n'est ni plus ni moins qu'une cessation d'activité classique
.
Sans vouloir faire mon gros lourd, quitte à renvoyer des statuts en préfecture, autant tout reprendre maintenant... Ne surtout pas les charger, c'est plus simple de modifier le règlement intérieur et ça coûte rien. Y a juste quelques formules un peu foireuses et beaucoup de fautes.
PS : et si l'auto gestion c'est tout à fait jouable par voix de référendum systématique
. Si il arrive une merde, le président n'est pas plus responsable que n'importe qui au niveau de l'assurance... Tant que NOUS ne nous mettons pas de barrières, il n'y en a pas vraiment. Pour l'administration il faut
a minima un prête-nom, ça on n'y coupe pas. D'où la bonne idée d'avoir le secrétaire pour ce rôle, statutairement
. Et je rappelle que nous avons moins de 100 membres donc en-dehors d'une affaire criminelle, la question de la gestion de notre bureau ne se pose que pour nous, les responsabilités des uns et des autres ne seraient visées que dans deux cas bien précis : trafic de drogue et crime (meurtre, viol, terrorisme,...). Normalement on pratique tout ça mais pas en vrai, donc ça devrait aller
. C'est nous qui élevons le niveau de contrainte nous-mêmes, via le règlement intérieur. Le mode de prise de décision et d'usage est tout à fait auto-gestionnaire à la CJD, en théorie
(mais chut
.) .